Philosophie
L’agence met en avant des méthodologies d’études, de programmation et de projets urbains à travers des approches itératives propres à chaque territoire. Le projet est l’occasion de spatialiser les idées et de dessiner les ambitions portées par le territoire. L’agence intervient dès la mise en œuvre de la stratégie afin d’accompagner les maîtrises d’ouvrage dans la déclinaison opérationnelles de leurs idées, de la décision à la spatialisation de leurs actions.
Partant du principe que la programmation urbaine ne porte pas uniquement sur l’approche quantitative, Métamorphoses Urbaines intègre dans sa démarche une approche qualitative fondée sur le vivant (humain et non humain).
Ainsi, il nous semble essentiel que le projet se fasse « par » et « avec » les acteurs des territoires, qu’ils soient élus et décideurs ou encore habitants ou usagers. La médiation cherche à être à l’écoute de toutes les catégories d’acteurs. Cette approche est développée en particulier avec l’agence Anne-Solange Muis.
Par ailleurs, nous défendons également la place du vivant, non humain, en ville au même titre que les individus.
En ce sens, Métamorphoses Urbaines réfléchit à la programmation du vivant, et milite une plus grande prise en compte de la nature en ville.
Démarche
Nous plaçons la programmation en amont des projets d’aménagement et de transformation du territoire. Celle-ci intègre une vision et une pensée transversales des territoires croisées avec une approche géographique multiscalaire et temporelle.
A cela s’ajoute la coconstruction nécessaire de la démarche, du projet, de l’action avec les acteurs du territoire afin que ces derniers s’approprient dès le lancement, le projet et ses transformations territoriales. Ainsi, le citoyen devient acteur de la métamorphose de son territoire.
Cette approche ne peut se faire indépendamment du vivant non-humain. La nature participe à l’épanouissement et la qualité de vie des habitants, c’est pourquoi, la place du végétal et du monde animal doivent être prises en compte tout autant que celle des individus.